Sous le capot, il y a quelques différences. En particulier, le recours à une VM. Autant au nom de la sécurité que des fonctionnalités (dans la VM, Docker a complètement la main sur l’OS et le noyau).
Docker Desktop pour Linux nécessite au minimum QEMU 5.2 et 4 Go de RAM. Il n’est pas encore intégré dans les dépôts des distributions. Pour le moment, sur le droit à des paquets deb et rpm, avec le support d’Ubuntu (21.10 et 22.04), Debian (11 et suivants) et Fedora (35, 36). La prise en charge d’ArchLinux reste expérimentale. Raspberry Pi OS devrait s’ajouter dans les prochaines semaines.
Autant sur Linux que sur Mac et Windows, Docker peut désormais embarquer des extensions. Il y en a aujourd’hui une quinzaine au catalogue. Parmi elles, du maillage de services (Layer5), de l’analyse de sécurité (Snyk, Ahcore, JFrog, Trivy) et de l’aide au déploiement (Tanzu Kubernetes, OpenShift…). Un SDK est disponible pour en développement soi-même.
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